« Alloverium » (par C. , 1678), dans , et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 1, col. 188c. http://ducange.enc.sorbonne.fr/ALLOVERIUM
ALLOVERIUM, Marsupium. Gallis olim nostris, Aloiere. Fleta lib, 2. cap. 82. § 2 :
Trituratores ac ventrices nequicquam bladi furentur in suis sotularibus, cirotecis, Alloveriis, bursis, seu pantoneriis, vel sacculis.Le Roman du Dit du Chevalier MS. :
Riche cheinture, et Aloiere,Que chascun appellent Gibeciere.
P. , 1766.
◊ Varie efferunt hanc
vocem veteres nostri ; nam præter Aloiere vel Aloyere dictum reperio
Alloiere, Allouyere et Alloyere. Inventar. Guidonis
magistri monetar. ann. 1321. in Reg. A. 2. Cam. Comput. Paris. fol. 12. v° : Un coutel et une Aloyere de cuir d'abaye, etc.Lit. remiss. ann. 1425. in Reg. 173. Chartoph. reg. ch. 265 :
Comme Casin Cordier eust prins furtivement en la gibeciere ou Allouyere de son oncle ung fleurin, etc.Aliæ ann. 1448. in Reg. 176, ch. 640 :
Lequel Simon tira de son Aloiere ou gipeciere ung extraict par lequel il lui demandoit 64. solz.Aliæ ann. 1455. in reg. 183. ch. 49 :
Le suppliant tenant en sa main ung bourselot, ouquel y avoit plusieurs pieces, tant d'or que d'argent, .... et faisant signe de le mettre en son Alloiere.Aliæ rursum ann. 1456. in Reg. 187. ch. 8 :
Le suppliant print la gibbeciere ou Alloyere de petit Jehan, en laquele n'avoit point d'argent.