« Banlauca » (par P. , 1766), dans , et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 1, col. 549c. http://ducange.enc.sorbonne.fr/BANLAUCA
BANLAUCA, pro Banleuca, in Libert. villæ Rupel. ann. 1372. tom. 5. Ordinat. reg.
Franc. pag. 573. art. 5. Vide in Bannum 3.
P. , 1766.
◊ Hinc forte accersenda
vocum Gallicarum Banleffre et Banlievre, origo, quibus omnem oris circuitum,
quomodo locus aliquis banleuca circumscribitur, nostri olim significabant. Stat.
ann. 1347. tom. 2. Ordinat. pag. 283 : Nous voulons.... qu'on lui fendein Lit. remiss. ann. 1348. ex Reg. 77. Chartoph. reg. ch. 389. Aliæ ann. 1349. ibid. ch. 412 :(au blasphémateur)la levre de dessus d'un fer chaud, et que les dens lui apparoissent. A la tierce fois, la levre de dessous, et à la quarte toute la Bas-levre(leg. Banlevre). Banlievre,
Les fist mener jusques vers le gibet et bremie, et cooper les nés et Banleffres à six ou à huit. Baulevre,pro Banlivre, ni fallor, in aliis Lit. ann. 1380. ex Reg. 118. ch. 450. ut et Banlievre, in Lit. Phil. VI. tom. 2. Ordinat. pag. 48. art. 2 :
La Baulievre dessus, c'est assavoir ce qui est entre le nez et le Baulyevre de sous.Adde tom. 8. earumd. Ordinat. pag. 130. et Hist. S. Ludov. pag. 120. Hinc forte Esbauleurée vel Esbanlevrée dicitur de vetula muliere, cujus os concavum est, vel labra demissa sunt. Lit. remiss. ann. 1428. in Reg. 174. ch. 233 :
Une femme publique, de vie dissolue, et en effet et substance, toute Esbauleurée dist au suppliant tels motz : Valée, tu as eu ma compaignie, etc.Labium superius intelligit Cangius in Superlabium.