◊ Recte quidem ; urceos quippe et maxime vasa, unde lavandis manibus aqua infunditur, quæ canaliculum vel epistomium, Gall. Tuyau, robinet, quod Broceron vocabatur, habebant, eo nomine, aut certe non absimili, appellasse nostros existimo. Quæ vox, aliæque subsequentes a Gall. Bronze ; quod ejusmodi vasa ex ære, vel cupro fabrefacta essent, accersendæ non absurde videntur. Vide infra Bronzinum. Inventar. jocalium Eduardi I. reg. Angl. ann. 1297 :

Item un pot lavoir d'argent à une fuellie desus le couvercle, s'est semeis d'escuchons et de compas esleveis, à une beste passant entre le col et le Broceron.

Lit. remiss. ann. 1451. in Reg. 184. Chartoph. reg. ch. 165 :

Le suppliant et Perrenet Mourin estans en l'église de S. Quentin virent en une chapelle ou l'on contrepoise les malades, ung pot d'estain à Broceron.

Neque aliud significat Broisseron, in aliis Lit. ann. 1397. ex Reg. 152. ch. 271 :

Comme icellui Girart eust pris.... de Jehan le Duc un pot à Broisseron de cuivre, etc.

Hinc

◊ Brocart, Urceus ejusmodi canaliculo instructus dicitur, in Lit. remiss. ann. 1420. ex Reg. 171. ch. 250 :

Un bassin avec le Brocart à main laver.

Eadem acceptione Brocier, Broissete et Brosseron usurparunt. Lit. ann. 1392. ex Reg. 142. ch. 269 :

Ladite Jehannete eust pris et emblé un Brocier à Chamaulx, qui fu vendu trois solz Parisis.

Aliæ ann. 1397. in Reg. 152. ch. 215 :

En laquelle court estoit lors le suppliant qui lavoit ses mains à un lavoir ou Brosseron qui y estoit.

Rursum aliæ ann. 1406. ex Reg. 161. ch. 49 :

Et prindrent en icellui hostel une Broissete à laver de cuivre.

Aliud vero est Brochouer, Instrumentum scilicet fabri solearum ferrearum, vulgo Brochoir, in Lit. remiss. ann. 1443. ex Reg. 176. ch. 271 :

Le suppliant prist trois congnées, une sie, une besague, ung Brochouer, etc.