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[]« Esterium » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 3, col. 318c. http://ducange.enc.sorbonne.fr/ESTERIUM
ESTERIUM, pro Æstuarium, Canalis quo intrat æstus maris. Lobinellus in Glossario ad calcem Hist. Britan. Fundatio Monasterii Sarmaciæ Ord. Grandimont. ann. 1192. inter Anecd. Marten. tom. 1. col. 646 : Concessimus memoratis Priori et Bonis hominibus in dicto loco servientibus prata de Audillec, sicut duo Esteria, pro quibus mare ascendit et descendit, distinguunt.
P. Carpentier, 1766.
Nostris Ester et Estier.
<cit> Charta Henr. V. reg. Angl. ex Cod. reg. 8387. 4. fol. 44. r°. :
Aqua appellata la Blanqua descendit usque ad bocam Sterii de Correyano, ubi dictum Esterium cadit in mari, vocato Geronda.
</cit>
<cit> Alia ann. 1312. in Lib. rub. Cam. Comput. Paris. fol. 522. v°. : []
Une piece de terre... ainsi comme elle se levet, o le fons du fossé, qui est et fiert à l'Estier du port dessous le chasteau,... ainsi comme ledit Estier et ledit fossé se estandent.
</cit>
<cit> Lit. remiss. ann. 1400. in Reg. 155. Chartoph. reg. ch. 390 :
Comme les supplians feussent en un vaisseau, nommé gabarre, estant sur eaue en un lieu nommé l'Ester du port de Corsse près de ladite ville de saint Jehan d'Angely,... oudit Ester sur l'eaue estoit aussi un autre gabarre... et estoit en la fin dudit Ester à l'entrée de la ditte riviere.
</cit>
<xr>Vide Exterium.</xr>