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[]« Hochia » (par C. du Cange, 1678), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 4, col. 211b. http://ducange.enc.sorbonne.fr/HOCHIA
HOCHIA. Terræ portio arabilis, fossis vel sæpibus undique clausa. Vide Olca.
P. Carpentier, 1766.
Nostris Hoche, eadem notione. Reg. Cam. Comput. Paris. fol. 84. v° :
Vergiers, Hoches, chasaus, maisons, etc. Hoche
vero, Aleæ genus, in Charta ann. 1331. tom. 2. Hist. Leod. pag. 415 :
Item avons ordineit qu'il ne soit nulz que de ce jours enavant, qui joue ens le cloestre ou chimiteires de egliez de Liége aux deis, aux scouz, aux Hochez, ou autres jeux que ons appelle tremrealz.
Quod Jouer à Hoissier dicitur, in Lit. remiss. ann. 1371. ex Reg. 102. Chartoph. reg. ch. 256 :
Ilz commencierent à jouer ensamble à Hoissier, à plus croix, ou plus pile.
A verbo Hocer, vel, ut nunc effertur, Hocher, Quatere, movere. Lit. remiss. ann. 1380. in Reg. 117. ch. 137 :
Icellui Estienne ainsi qu'il tenoit et Hocoit les dez, etc. Hocher,
obscœne accipitur, in aliis Lit. ann. 1405. ex Reg. 159. ch. 317 :
Lequel Jehannot vit sa femme venir d'un jardin, et avec estoit un jeune homme ;... il lui dist, tu viens de toy faire Hocher.
Aliud [] autem est Hoicher, nempe Opprimere, Gall. Etouffer, in Serm. 7. ex Cod. MS. S. Vict. Paris. :
La tierce partie de la semence si chai sor espines, et les espines la Hoicherent tote.
Ubi Lucas cap. 8. v. 7 :
Exortæ spinæ suffocaverunt illud.