« Huveti » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans , et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 4, col. 269c. http://ducange.enc.sorbonne.fr/HUVETI
HUVETI, Vestis species. Instrum. ann. 1303. in Hist. Monast. Sangerm. inter Instr. pag.
clxxiv :
Item quod nullus deferat infra metas Monasterii apparentes Huvetos.Legendum forte Housias. Vide in hac voce.
P. , 1766.
◊ Vel Vestis ornamentum, idem
fortassis quod Huon dicitur in Lit. remiss. ann. 1334. ex Reg. 66. Chartoph. reg.
ch. 1380 : L'avoient(icellui Thiebaut)tant trainé et batu et feru d'orbes coulx, et li avoient tors le bras et les jambes, et pris et saché par les Huons, etc.
P. , 1766.
◊ Aliud vero sonat
Huvrelau vel Huvrelas, Umbraculum nempe ligneum, vulgo Auvent, in
Arest. ann. 1312. ex Reg. Olim parlam. Paris. fol. 135 : Issues, saillies, huisseries, Huvrelas, appentis, etc.Lit. remiss. ann. 1412. in Reg. 166. Chartoph. reg. ch. 288 :
Pluseurs jeunes gens venus pour veoir le jeu d'arbaleste se mistrent au dessoubz d'un Huvrelas ou auvant, lieu et place ordonnée pour veoir le jeu seurement.Magn. Chartul. nig. Corb. fol. 11. v°. :
Item nus ne puet... faire Huvrelaus, ne autre ouvrage seur froc de vile, quesqu'il soit, sans le congié mons. l'abbé.Hinc emendanda Charta ann. 1324. in Reg. 64. ch. 2. ubi Huveles legitur, pro Huvrelas :
Si li dit habitant voloient faire Huveles, ou appantiz, ou saillies nouviaus, il en requerroient congié au froquier.