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[]« Jejunales dies » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 4, col. 285c. http://ducange.enc.sorbonne.fr/IEJUNALES
JEJUNALES Dies, Dies sacri jejunii, in Statutis Collegii Cornubiæ ann. 1380. apud Lobinell. tom. 3. Hist. Paris. pag. 500. Leg. palat. Jac. II. reg. Majoric. tom. 3. Jun. pag. lxxx. col. 2 :
In diebus vero Jejunalibus, puta in Quadragesima et aliis quibus a carnibus abstinetur, etc.
Nostris Jeuge, pro Jejunus, vulgo Qui est à jeun. Lit. remiss. ann. 1403. in Reg. 157 : Chartoph. reg. ch. 391 :
Icellui Godier qui estoit coustumier à Jeuge et à saoul de injurier et vilener gens, etc. Qui est jeun,
eadem acceptione, in aliis ann. 1384. ex Reg. 125. ch. 9 :
Icelle Perrenelle, qui estoit laisse et vaine, tant pour ce qu'elle n'avoit mengié de tout le jour, comme... pour ce qu'elle estoit malade et Jeune, etc. Jugn,
eadem notione apud Joinvill. in Hist. S. Ludov. edit. Cang. pag. 75. ubi editio reg. pag. 79. habet, Jeun.