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[]« 1 meisa » (par P. Carpentier, 1766), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 5, col. 328c. http://ducange.enc.sorbonne.fr/MEISA1
1. MEISA, Doliolum, Gall. Caque, vel Certa cujusvis rei collectio, nostris Maise et Meisse : hine Méesse, pro Fascis, manipulus, vulgo Gerbe, bote. Lit. remiss. ann. 1402. in Reg. 157. Chartoph. reg. ch. 274 :
En la paroisse de Chasteauneuf en plusieurs héritages le suppliant prinst quatre Méesses d'osier, dont il en trouva les trois Méesses cueillies. Gerbes,
in alia de eadem re ibid. ch. 284. Charta ann. 1226. apud Ludewig. tom. 12. Reliq. Mss. pag. 321 :
De Meisa halecum, denarius.
Stat. ann. 1320. tom. 2. Ordinat. reg. Franc. pag. 576. art. 6 :
Que nuls ne puisse vendre ne acheter ledit harenc en Maises, ne en tonniaus sans comte ; c'est assavoir en chacune Maise de harenc sor, doit avoir un millier et vingt harens pour fourneture, en la Maise de harenc blanc, doit avoir huit cent et seize harens pour fourneture.
Charta ann. 1450. in Reg. 185. ch. 83 :
Ung estrelin chacune Meisse de harenc. Meze,
in Stat. ann. 1403. tom. 8. Ordinat. pag. 614. Mese, in alio Stat. ex Lib. rub. fol. magno domus publ. Abbavil. art. 4 :
Que tous herens en masse demeurent en le mesasure de quoy il sont enmasé du lieu dont il viennent, soit blanc ou roux, sans remuer des Meses, là u il ont esté enmasé.
Vide Mesa 1.