◊ Nostris Merveilleux, pro Ferox, superbus, arrogans ; unde Paroles merveilleuses, Contumeliosa verba, et Merveilleté, Merveilleuseté, Arrogantia. Lit. remiss. ann. 1376. in Reg. 109. Chartoph. reg. ch. 120 :

Lequel Oudart qui tousjours a esté Merveilleux, entreprenanz et rioteux, etc.

Aliæ ann. 1399. in Reg. 155. ch. 37 :

Lequel Gilot le Feve, qui estoit homme noiseux et haultain, leur respondi pluseurs paroles Merveilleuses, en leur disant moult de villenies.

Aliæ ann. 1395. in Reg. 147. ch. 298 :

Pour cause de la Merveilleté et riote, qui estoit en la personne dudit Jehan de Poittiers, etc.

Aliæ ann. 1402. in Reg. 157. ch. 259 :

Laquelle Marie a esté en son temps merveilleuse femme,... et par la Merveilleuseté d'elle, son dernier mari lui creva l'œil.

Sed et Merveilleux dixerunt, pro Stupefactus, territus, a verbo Merveiller, Mirari, Ital. Maravigliare. Lit. remiss. ann. 1443. in Reg. 176. ch. 311 :

Quant le suppliant vit le sang, il fut bien Merveilleux et esbahy.

Chron. S. Dion. tom. 3. Collect. Histor. Franc. pag. 240 :

Li rois se prist à Merveiller comment ce pooit estre.

Ubi Aimoin. lib. 3. cap. 57 :

Rex ammiratus est.

Consol. Boetii. Ms. lib. 1 :

Encor ne te dois Merveiller

Se mauvais te portent envie.

Se donner merveilles, eadem acceptione, in Lit. remiss. ann. 1450. ex Reg. 185. ch. 4 :

Jamet Torrillon dist au suppliant qu'il se donnoit Merveilles, que on ne l'avoit assis à plus grant somme de deniers en nos tailles, etc.