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[]« 1 motire » (par P. Carpentier, 1766), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 5, col. 532c. http://ducange.enc.sorbonne.fr/MOTIRE1
1. MOTIRE, a veteri Gallico Motir, Monere, declarare. Charta ann. 1218. in Chartul. Campan. ex Cam. Comput. Paris. :
Si aliquo modo deficerem de emenda facienda, comes Barri-ducis et dominus de la Fauche, post xl. dies in quibus me Motierent de emenda facienda, etc.
Assis. Hieros. cap. 12 :
Puisque l'on demande conseill, sans Motir de quoy, etc.
Stat. ann. 1320. tom. 2. Ordinat. reg. Franc. pag. 576. art. 4 :
Et le panier se deffaut de plus de trente harens, que il l'aura Moti au vendre, etc. Moteier,
eodem sensu, in Charta ann. 1313. ex Hist. Sabol. pag. 246 :
Lesquelles raysons nous voulons que soient eues (leg. tenues) pour expressément Moteiées e nommées.
Hinc Motison, Declaratio, significatio, in Guill. Tyrii contin. Hist. apud Marten. tom. 5. Ampl. Collect. col. 708 :
En cele frairie avoit establissement, devises et Motison et priviléges, etc. Motissement,
eadem acceptione, in Cons. Petri de Font. cap. 15. art. 23 :
Et aucune fois avient ke le cose meimes fait le covenant sans autre Motissement.
Vide Motitio.