« 1 panerius » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans , et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 6, col. 128a. http://ducange.enc.sorbonne.fr/PANERIUS1
1. PANERIUS, Sporta, corbis, Gall. Panier. Statuta Arelat. MSS. art. 34 :
Pro quolibet Panerio vel canastello 5. sol.Charta ann. 1292. apud Lobinell. tom. 4. Hist. Paris. pag. 515 :
Episcopus Parisiensis habet pretium suum ad Panerium piscis vel ad summam.Occurrit præterea in Sentent. arbitrali ejusdem anni inter Abbatem et Consules Gimont. Vide Panerum, et Pannerius.
P. , 1766.
◊ Quidnam ridiculi aut in
linguam Gallicam peccati habeat vox Panier vel Penier, non video, maxime cum
nativo sensu accipiatur, in Lit. remiss. ann. 1382. ex Reg. 121. Chartoph. reg. ch. 188 :
Un varlet que l'en appelloit, si comme l'en dit, Perrin Fremil, lequel ilpro in cista ponere, in Stat. ann. 1350. tom. 2. Ordinat. reg. Franc. pag. 360. art. 117. Panneterie, sportæ, in Lit. ann. 1369. tom. 5. earumd. Ordinat. pag. 253.(le suppliant)ne cognoissoit, lui dist que un enfant, que ycellui Perrin tenoit, il meist dedans ses Peniers pour le porter, et ledit Jehan considérant que ce n'eust pas esté l'aisement de l'enfant ne de sa beste, mesmement que les Panniers estoient parfons comme bachoes, lui dist que il le mettroit devant soy ; et ledit Perrin respondi que non, et dist que n'en feroit riens, se il ne le mettoit en Paniers ; lequel Jehan, quant il le oy ainsi fourchier en langaige, en disant Paniers, prist à rire et dist par esbatement : Meschance aviengne à la vieille qui te aprist à parler ; lequel Perrin en soy attaynant de ce, respondi, mais à vous ribaut. Empanerer,