« Petura » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans , et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 6, col. 299b. http://ducange.enc.sorbonne.fr/PETURA
PETURA, pro Pectura, septum. Chartular. SS. Trinit. Cadom. fol. 59 :
Cujus Petura non fuerit clausa in die Ascensionis, dabit ovem cum agno de forisfacto.Vide Pectura.
P. , 1766.
◊ Minus bene ; idem enim est
quod Pastura 1. Pascuum, pratum, a Gallico Peuture, pro Pâture, qua
voce nostri alimentum, tam hominum quam animalium, designaverunt. Lit. ann. 1387. tom. 7.
Ordinat. reg. Franc. pag. 182 : Et aussi anciennement n'a mie esté usé de paier amende pour un petit poisson, se on le met en fosses aus becqués, pour leur Peuture.MS. :
Que dira Dius des laboureurs,Qui pour autrui font les labeurs,Qui jour et nuit sont en grant cureDe labourer pour leur Peuture.