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[]« Subsannatio » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 7, col. 636b. http://ducange.enc.sorbonne.fr/SUBSANNATIO
SUBSANNATIO, ut mox Subsannium. Gloss. Lat. Græc. : Subsannatio, μυϰτηριασμός.[] Occurrit in Psal. 34. 16. 43. 14. etc. ut Subsannare, irridere, 4. Reg. 19. 21. 2. Paralip. 30. 10. etc. et Subsannator, irrisor, Eccli. 33. 6. Subsannare, rechiner, moquer, escharnir, in Gloss. Lat. Gall. Sangerm.
P. Carpentier, 1766.
◊ Subsannans alios, ipse deridendus, in Chron. Ditmari episc. Mersburg. apud Leibnit. tom. 1. Script. Brunsvic. pag. 364. Sorner nostris, eodem significatu. Lit. remiss. ann. 1420. in Reg. 171. Chartoph. reg. ch. 277 :
Lequel Colart print à noiser avecques icellui Bertran et le Sorner et mocquer de ce qu'il l'avoit batu.
Unde Sournette, Jocus, irrisio, in aliis ann. 1452. ex Reg. 181. ch. 163 :
Ung nommé Chapponay...... tira à part le suppliant, et lui dist à secret que s'il vouloit venir devers le soir,..... qu'il verroit une bonne Sournette ou esbatement.
Ibid. ch. 172. de eadem re : Jouer une finesse.
les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736.
Subsannative, Irridendo, in Excerptis ex Gestis Ottonis Tarentini apud Leibnit. tom. 2. Script. Brunsvic. pag. 58.
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