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[]« Berciolum » (par C. du Cange, 1678), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 1, col. 637a. http://ducange.enc.sorbonne.fr/BERCIOLUM
BERCIOLUM, Cunæ, et Gall. Berceau. Vita S. Pardulfi :
Et in agitario, quod vulgo Berciolum vocant, pannis constrictum imposuit.
Infra :
Berciolum, quod honesto sermone Philosophi cunabulum vocant.
Cod. Compendiensis habet barciolum, uti monet eruditus Mabillonius. Vide Bersa.
P. Carpentier, 1766.
Olim Berçuel, Barseul, Berch, Bercelet et Bressollet. Chron. S. Dion. tom. 7. Collect. Histor. Franc. pag. 151 :
Après li uns des Innocens, que li rois Herodes fist décoler, en un Bercelet de paumes.
Et tom. 8. ibid. pag. 336 :
Un petit-fil lessa, qui encor estoit alaitanz en Berçuel.
Lit. remiss. ann. 1372. in Reg. 103. Chartoph. reg. ch. 63 :
Lesquelz avoient laissié en leur hostel sans aucune garde un leur petit enfant, qui estoit au Barseul.
Aliæ ann. 1395. in Reg. 147. ch. 247 :
Comme Jehanne Marchande, qui avoit prins à nourrir.... une bien jeune fille..... eust couché icelle fille en un Berch, pour reposer et dormir, etc.
Denique aliæ ann. 1457. in Reg. 185. ch. 327 :
Une petite fille, qui berçoit ung petit enfant aagé d'un an ou environ ou Bressollet, auprès du fouyer.
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