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[]« Chantellus » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 2, col. 286b. http://ducange.enc.sorbonne.fr/CHANTELLUS
CHANTELLUS, Frustum panis amplioris. Gall. Chanteau. Instrumentum venditionis sergenteriæ domini Episcopi Æduensis ann. 1271 :
Item habet et habere debet singulis annis idem Raulinus de quolibet pane quem falcatores comedunt in praeria prædicta unum Chantellum cujuslibet panis.
Vide Cantellus.
P. Carpentier, 1766.
Lit. remiss. ann. 1451. in Reg. 185. Chartoph. reg. ch. 165 :
Le suppliant print un Chanteau de pain qu'il rencontra.
Hinc Chantilles, ni fallor, appellantur lapidum fragmina, in aliis Lit. ann. 1391. ex Reg. 141. ch. 101 :
Certaine quantité de Chantilles pour mettre en euvre en une sienne maison (fournies par) un ouvrier de tieullerie et de chaux. Chantel
vero, Pars manus aversa seu exterior, vulgo le Dos de la main, in aliis Lit. ann. 1401. ex Reg. 156. ch. 113 :
Lequel Guillaume feri du Chantel ou du dos de sa main l'exposant, et lui bailla un arriere main au dessoubs du menton.