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[]« Grus » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 4, col. 120a. http://ducange.enc.sorbonne.fr/GRUS
GRUS, ut supra Gruellum, Polenta. Statuta Monasterii S. Claudii ann. 1448 :
Diebus aliis in Quadragesima debet pittantiarius[] ministrare potagium de Grus, atque pisa alba, etc.
P. Carpentier, 1766.
Notanda vocis Gallicæ Grus significatio, in Lit. remiss. ann. 1415. ex Reg. 169. Chartoph. reg. ch. 61 :
Icellui Girart appella la suppliante deux ou trois foiz Grus, Grus ; et pour ce qu'elle n'entendoit pas que c'estoit à dire desdites parolles, demanda audit Girart que c'estoit à dire : lequel Girart lui dist que c'estoit à dire ribaude, en l'appellant par pluseurs foiz Grus, ribaude, Grus, ribaude.
Vide supra Gruellus.