« Involens » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans , et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 4, col. 419c. http://ducange.enc.sorbonne.fr/INVOLENS
INVOLENS, Nolens, invitus. Testamentum S. Gennadii Episc. Asturic. tom. 3. Concil. Hisp.
pag. 172. col. 2. et tom. 6. SS. Maii pag. 96 :
Ad suburbia adtractus sum, in quæ multis annis Involens, et magis in principio perdurans quam spontanea mente... ibidem commoravi.
Involentia, alias Nolentia. Salvianus lib. 7. de Gubernat. Dei :
Etsi Involentia non carent, malivolentia carent.
P. , 1766.
◊ Nostris alias
Envis, pro Ægre, invite,
Gall. Malgré soi, contre son gré. S. Dion. Chron. lib. 5. cap. 7.
tom. 3. Collect. Histor. Franc. pag. 283 : Li rois Clothaires reçut toutesvoies les prieres son filz, mais ce fu Envis.Ubi Aimoin. lib. 4. cap. 14. ibid. pag. 123. habet :
Chlotarius, ægre licet, oranti tamen filio concessit.Joinvil. in S. Ludov. edit. reg. pag. 85 :
Disoit que moult Envis se fu souffert de li venir veoir.Lit. remiss. ann. 1427. in Reg. 173. Chartoph. reg. ch. 707 :
Pour ce que icellui Buisson estoit poures homs, qui paioit Envis et plaidoit voulentiers.Fabul. tom. 1. pag. 24 :
Ou volontiers ou à EnvisLe fist li prestres, etc.
P. , 1766.
◊ Envoulentif vero,
idem quod Propositi tenax, in Lit. remiss. ann. 1409. ex Reg. 163. ch. 334 : Quant icellui André vit que Buffiere estoit moult Envoulentifs de villener le feu Potier, etc.