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[]« Pœnare » (par C. du Cange, 1678), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 6, col. 383b. http://ducange.enc.sorbonne.fr/POENARE
PŒNARE, Pœnis afficere, in Actis S. Basilisci, Martyr. cap. 3. num. 14. MS. :
Solonc lor felonnie fessoit chascun Pener.
P. Carpentier, 1766.
Nostris alias Espenir et Empenner. Cons. Petri de Font. cap. 31. art. 2 :
Le crime ne doit pas remanoir sans estre Espeni.
Lit. remiss. ann. 1472. in Reg. 195. Chartoph. reg. ch. 706 :
Icellui Gieuffroy dist que s'il trouvoit plus au jardin son pere les pourceaulx d'icelui Poitevin, il les Empenneroit.
Hinc, ni fallor, Espenuier, pro Operarius, homo pœnæ et labori addictus. Lit. remiss. ann. 1459. in Reg. 189. ch. 361 :
Jehan le Cat poure homme Espenuier... en nostre ville de Tournay, etc.
Ejusdem forte originis vox Gallica Penisson, qua vir hebes et stolidus significari videtur, in Lit. remiss. ann. 1478. ex Reg. 205. ch. 153 :
Par le cap de Dieu, jamais tant que le roy vivra n'auren repos et n'auren que mal ; car il n'est que ung fol et ung Penisson.