Rex Angliæ Guillelmus....... fecit Summoniri per universos Angliæ Consulatus universos Anglos nobiles, sapientes, et sua lege eruditos, etc.Adde cap. 10. 35.
Et postea Summonere fecit Comites et Barones Normanniæ per literas suas, quod essent ad eum apud Argentonium in Festo S. Dionysii equis et armis parati, secum in suo servitio remanendi.Matth. Paris ann. 1242 :
Fecit etiam militare subsidium per provincias sibi subditas, quale solet Francia fundere, edicto regali communiter convocari, et civilium communiarum legiones ad Submonitionem regiam alacriter animari.Tabul. Vindoc. ann. 1048 :
Ipsas consuetudines donat Gaufridus Comes,...... excepta Submonitione pro prœlio in adversarios, vel castro faciendo in marchia.MS. :
Alibi :Mandez nos homes sans prendre nul respit,Qu'il n'i remagne qui armes puist soffrir,Ses Semonnez qu'il vos viengent servirCil qui de vos vodra terre tenir.
Formula Submonitionum militarium antiqua habetur apud Frotharium Tullensem Episcopum Epist. 25. recentior in Regesto 10. 12. et 36. Philippi Pulchri Regis Franc. Chartophylacii Regii, quam hic damus :Vet s'en Fromond, Semoine son barnage.
Complures aliæ ejusdem fere tenoris habentur nobilium submonitiones in hisce binis Regestis, de quibus præterea in vocibus Hostis, Herebannum. Tantum observo, Barones in Francia per proprias Principis litteras submoneri solitos, quod attigimus in Elogio Joannis D. Joinvillæ pag. 19. Vide Statuta Delphinalia pag. 39.Philippe, etc. Pour cause certaine et necessaire, qui touche l'Estat de nous et de tout nostre Royaume, nous vous mandons et commandons, que vous veniez sans nul deffaut suffisament appareillez en armes et en chevaus selon vostre estat, et selon ce, que nous devez, et en outre si suffisament, que vous nous en devons tenir pour bien payez, soiez à Arraz à cest premier jour de Juing prochain venant, pour faire et accomplir diligemment, ce que vous sera commandé et enjoint de par nous. Donné à Paris le Lundi emprés l'Invention sainte-Croiz l'an de grace 1302.
Philippes par la grace de Dieu Roys de France, au Baillif de Coustantin, Salut. Come nous par nos lettres pendans t'avons autrefois mandé, que tu, les Prelaz, Evesques, Abbez, Chapitres et autres personnes d'Eglise de ta Baillie, qui ost, chevaucie, et quelque autre maniere de service nous doivent, priassiez et requissiez de par nous, et avec ce les Semonsissez, que il as octaves de la Nativité saint Jehan Baptiste nouvellement passée fussent à Arras en armes et en chevaux si souffisament come il devroient, et come à chascun d'eux appartiendroit, pour nous servir, et aler avant avec nous en la besoigne de nostre guerre de Flandres, si comme le fait le requiert ; nous veans que à ladite Octave ne povions avoir la gent que cuidions et entendions à avoir, et qui pour aucunes causes apparessans de novel, avons ferme propos de estre audit lieu à la quinzaine de la dite Feste saint Jehan, et encore plustost, se nous onques povons ; car dés le jour dui nous somes à la voie de nous traire cele part pour suivre le fait de nostre dite guerre le plustost et le plus hastivement, que pourons à l'aide Dieu : et mandons que tu hastivement, et sans point de delai les requieres derechief, et priez de par nous, et à ce les Semons si estroitement comme tu pourras, que il à ladite quinzaine sans nulle faute soient avec nous si come il devront audit lieu en armes et en chevaus, et autrement apareillié comme à eus apartient, en maniere que nous soions tenus à eus à tousiours mais, et cestui mandement et Semonce fait à leur subgiez esquiex nous avons haute Justice, et à ceux esquiex il ont haute Justice fai faire cette Semonce, et cest mandement par les Prelaz dessusdits. Donné à Paris le Mercredi après la Feste saint Pere et saint Pol l'an de grace 1304.
Au prevost de Paris salut. Nous te mandons et commandons, que tous les non nobles de ta Prevosté, qui ont la value de cent livres parisis en meubles, ou de deus cens livres de tournois en meubles et en heritages tout ensemble, Semon et contraing, si comme tu pourra plus, que sans nulle dilation soient à la quinzaine de la Magdelaine prochaine venant à Arraz, garni et appareillié pour faire nostre service, si que nous nous en doions tenir pour bien paié.
Au Baillif de Senlis, salut. Comme nous t'avons mandé par nos autres lettres, que tous ceus de ta baillie, qui de toi tiennent en fié, qui ont la value de 200. l. de rentes à tournois, de quelque Seigneur que il tiennent ; Semonsisses que chier comme il nous ont, et sus quanque il se pevent meffaire vers nous, soient à Arras à la quinzaine de la Magdelaine en armes et en chevaux appareilliez ; de nous servir en nostre besoigne de Flandres, et si garni et arrée que nous en doions tenir pour bien paié, et que nous en sachions gré ; encore te mandons-nous et comandons, que tu ledit mandement faces et accomplisses bien et diligemment, et tous Chapitres, Abbez, Prieurs, et Convens, Eglises, et Commun de ta Baillie, qui aucun service nous doivent faire, et à toute autre maniere de gens, quelque ils soient, et coment que il soit encore contenu esdites lettres, que tu feisses generalement crier par toute ta Baillie qua toute autre maniere de gens, soit Gentilshommes ou autres, soient garnis et appareilliée en armes et en chevaux selon l'estat de chascun, en tele maniere, que ils soient prest et garni de faire nostre service toutefois, que nous leur feron savoir. Le devant cri et comandement general fait bien et diligemment faire et accomplir, selon, que il est contenu en nosdites lettres.
Si dictus VicedominusEadem habentur in Charta ann. 1240. ex eodem Tabulario.(de Pinchonio)me pro festo faciendo Submonuerit, ego cum uxore mea per octo dies secum ad custum meum debeo remanere.
Est autem Summonitio, certi diei et loci exhibitio, partibus facta ad diem legalem.Leges Henrici I. Regis Angl. cap. 41 :
Qui residens est, ad domum suam Submoneri debet de quolibet placito cum testibus. Ad rectum Summoniri,cap. 42. 55. Sugerius in Ludovico VI. cap. 2 :
Nec mora, quin præfatum Burchardum ante Patrem Castro Pinciaco Submonitum coegerit.Charta Philippi Aug. ann. 1194. pro Atrebat. :
Nullus intra pacem civitatis manens Submoneri debet, nisi per scabinos, et scabini non possunt contradicere quin eant cum justitia nostra, quandocumque eos Submonuerit, sed justitia debet eis dicere causam Submonitionis, an sit rationabilis, nec ire debent, nisi sit rationabilis. Asemoncer,in Privileg. habitatorum de Commines ann. 1364. inter Ordinat. Reg. Franc. tom. 4. pag. 523. sic enim legendum videtur pro Asemouré, uti editum est. Passim, de iis submonitionibus multa habent Bracton. lib. 5. tract. 1. cap. 6. Fleta lib. 6. cap. 6. Regiam Majestatem lib. 1. cap. 6. Quoniam Attachiamenta cap. 2. 3. Bellomanerius MS. cap. 2. Butelerius in Summa Rurali lib. 1. cap. 3. Vetus Consuetudo Normanniæ cap. 61. Gallandus de Franco allodio pag. 247. 248. Altaserra de Ducibus pag. 318. 320. Choppin. in Consuet. Andegav. cap. 46. pag. 450. etc. Vetus Poeta MS. ex Bibl. Coislin. nunc Sangerm. :
Vide Placitum.Li juges dit qu'il a meffait,Celui a fait Semondre à plait.A juor que cil estoit SemonsQui devoit faire son respons.
Comment, et où le Seigneur peut et doit faire Semondre ses hommes du service, qu'il lui doivent. Se sont les manieres, selon ce que à moy semble, et sovient ores, coment les Seignors peuvent et doivent faire Semondre leurs homes dou service que ils li doivent, et que il les en peuvent faire Semondre, mais que il aie court là où il les Semont. Ce est assavoir deus de ses hommes, ou plus, et le peuvent faire Semondre par trois de ses hommes un en son leue, et deux comme court ou bien par son banier.Et cap. 225 :
Le Seigneur peut encore Semondre lui-mesme son vassal, et en cas il le doit faire devant deux de ses hommes, ou plus, pour ce que il à recort de Court, se mestier li est.MS. :
Sire, pour ce devant l'esgartDeussiez Semondre renardPar un de vos Pers, et mander :Ne deussiez pas commander,Faire Semondre par garçonTel Chevalier, ne tel Baron.
Quand le Roy de France oit les nouvelles et complainte qui de tous lez venoient des gens le Roy d'Angleterre, moult en fu iré. Si manda tantost les Pers de France, et leur montra les injures, que le Roy d'Angleterre luy faisoit, et les conjura que drois luy en dissent. Et les Pers jugerent qu'on envoia deux des Pers au Roy d'Angleterre. Tantost on y envoia l'Evesque de Beauais et l'Evesque de Noyon : et ne finirent, si vindrent en Angleterre, et trouverent le Roy en un sien Chastel, qu'on appelle Windesore. Là lui baillerent leurs lettres, et lui dirent, Sire, les Pers de France ont jugé, qu'on vous adjourne sur les demandes, que le Roy de France vous fait, et nous, qui sommes Pers de France, vous y adjournons, et que dedans 40. jours veniez respondre à cette chose.Aliud exemplum antiquius submonitionis per Pares hic damus ex Tabulario Campaniæ, quod in bibliotheca Regia asservatur fol. 139. et 112. ex quo cujusmodi etiam fuerit Parium Franciæ judiciorum ratio, cuivis colligere liceat :
Guillermus D. G. Cathalaunensis Episcopus universis, ad quos præsens scriptum pervenerit, in Domino salutem. Noverit universitas vestra, quod cum dilecta et fidelis nostra Blancha Comitissa Campaniæ citata esset per Ducem Burgundiæ, M. de Montemaurentiaci, et Willelmum de Barris, ut iret in Curiam Domini Regis juri paritura super querela quam Erardus et Philippa, quæ dicitur uxor ejus contra eamdem Comitissam et Th. ejus filium proponebant : et super eo, quod idem Erardus et eadem Philippa petebant a domino Rege, ut ipse Rex reciperet homagium ejusdem Erardi de Comitatu Campaniæ, sicut inde tenens fuerat quondam Comes Henricus, quem ipsa Philippa patrem suum esse dicebat : tandem apud Meledunum in præsentia D. Regis constituti prædicta Comitissa Campaniæ et Th. filius ejus ex una parte, et prædicti Erardus de Brena et Philippa ex altera, requirentes super hoc sibi fieri judicium, judicatum est ibidem a Paribus Regni Franciæ, videlicet a venerabili patre nostro A. Remense Archiep. et dilectis fratribus nostris Willelmo Lingonensi, Ph. Belvacensi, St. Noviomensi Episcopis, a nobis etiam et ab Odone Duce Burgundiæ et a multis Episcopis et Baronibus Regni Franciæ, videlicet Altisiodorensi, R. Carnotensi, G. Silvanectensi, et J. Lexoviensi Episcopis, et Willelmo Comite Pontivi, R. Comite Drocarum, P. Comite Britanniæ, G. Comite S. Pauli, Willelmo de Rupibus, Senescallo Andegavensi, Willelmo Comite Joigniaci, J. Comite Bellimontis, R. Comite de Alençon, audiente Domino Rege et judicium approbante, quod homagium Erardi de Brena vel Philippæ supradictæ de Comitatu Campaniæ nullatenus recipere debeat, quamdiu Bl. Comitissa et Th. filius ejus vellent jus facere in Curia Domini Regis et pro sequi, quia usus et consuetudo Franciæ talis est, quod ex quo aliquis saisitus est de aliquo feodo per Dominum feodi, Dominus feodi non debet alium recipere in hominem de eodem feodo, quamdiu ille, qui saisitus est de feodo per dominum feodi, velit et paratus sit jus facere in Curia Domini feodi, et prosequi. Et quia Comitem Th. patrem istius Th. per assensum Baronum regni Franciæ nullo contradicente recepit Dominus Rex in hominem de Comitatu Campaniæ et Briæ, sicut pater ejusdem Comes Henricus inde tenens fuerat, et post decessum dicti Comitis Th. recepit Blancham Comitissam de eodem Comitatu in feminam suam sicut de baillio, et postea Th. filium ejus, salvo baillio matris suæ, de eodem Comitatu in hominem recepit nullo contradicente, de jure non debebat Dominus Rex dissaisire B. Comitissam vel Th. filiam ejus de Comitatu Campaniæ et Briæ, quamdiu parati essent jus facere in Curia ipsius Regis, et prosequi. Et ipsa Comitissa coram Domino Rege, coram nobis et coram Baronibus regni id semper obtulit. Hoc autem judicium prædictum concesserunt prædicti Erardus et Ph. et ea die, qua istud judicium factum fuit, nihil amplius quæsierunt a prædicta Comitissa Campaniæ et ejus filio, et sic sine die recesserunt. In cujus rei testimonium præsentes Litteras fieri præcepimus sigilli nostri munimine roboratas. Actum Meleduni ann. Dom. mccxvi. mense Julio.Vide in Par, pag. 71.
Cum esset contentio inter Johannam Comitissam Flandriæ ex una parte, et Johannem de Nigella ex altera, idem Joannes appellavit Comitissam de defectu ad Curiam Regis. Dominus Rex fecit Comitissam citari coram se per duos Milites. Comitissa ad diem comparens, proposuit se non sufficienter fuisse citatam per duos Milites, quia per Pares suos citari debebat : partibus appodiantibus se super hoc, judicatum est in curia Domini Regis, quod Comitissa fuerat sufficienter et competenter citata per duos Milites, et quod tenebat et valebat Submonitio per eos facta de Comitissa.Edwardus I. Rex Angliæ et Dux Aquitaniæ submonitus fuit a Senescallo Petricorensi et duobus aliis Militibus ad Parlamentum Regium 20. post Natalem Domini die ann. 1293. tenendum, responsurus de aliquot excessibus ac forisfactis. In Transactione inita inter Carolum V. Regem Franc. et Philippum Ducem Aurelianensem pro ejusdem Ducis apanagio, mense Januario ann. 1366. exaratum legitur, Ducem submonitum fuisse per Comitem Bononiæ et Comestabulum Franciæ : in Regesto Olim, fol. 57.
Quod quoties citantur Episcopi, cum serviente Regis intersunt quatuor Milites, ut possint ferre recordationem de citatione facta ; aliter nec ad citationem venire, nec, si venerint, respondere cogentur. Inhonestissimum enim esset, ut dicebant, quod asserente serviente Regis se citasse Episcopum, compelleretur Episcopus vel emendam præstare tanquam deficiens, vel jurare, sicut faciunt alii, se non fuisse citatum.Quapropter Regem rogarunt, ut hæc consuetudo deinceps servaretur : quod statutum a Rege fuit in rebus, quæ Baroniam tangerent solummodo :
Intererunt quatuor Milites, quando citabuntur Episcopi super rebus pertinentibus ad Baroniam. Inter inquestas terminatas Parisiis in Parlamento B. Martini hyemal. an. D. 1258.Atque id relatum in veter. Consuetud. Normann. cap. 61 :
Les Barons doivent estre Semons par le Bailli, ou par le Vicomte, ou par le maistre Sergent, pardevant quatre Chevaliers au moins, qui puissent porter tesmoignage de la semonce.
Le Banier en doit estre creu, se il dit, que il l'a Semons : et se lui dit par la foi, que il doit au Seignor, que le Banier ne le Semonist de cette semonce, si com il dit et attaint en est quite, ou se non il pert son fié.Hinc forte natum apud nos proverbium :
Sergent à Roy est Pers à Comte.
Super eo quod quidam Barones Dom. Regi supplicabant, quod homines et subditi sui non adjornarentur coram D. Rege per gentes Regis ; sed potius per ipsos : responsum fuit quod dominus Rex hoc non faceret, nec hoc tenebatur facere, nisi vellet. Inter Judicia, Consilia et Arresta expedita in Parlamento Candelosæ ann. 1276.
Tunc tres Hincmarus Archiepiscopus Episcopos ad me misit, mandans ad Synodum ipsam ut sine mora venirem.
Verum cum temporibus vestris in hominibus Ecclesiarum quædam novitas sit inducta, videlicet quod ad exercitus vestros Flandriæ ac Wasconiæ ire, vel mittere vel se redimere per vestros Curiales dicti homines sunt compulsi, faciendo nomine vestro banna et præconizationes in terris Prælatorum ipsorum sine voluntate, imo etiam contra voluntatem eorum, quod nunquam alias anteactis temporibus factum fuit, supplicant supradicti Prælati eis concedi Litteras regias, quod per præmissa vestro tempore innovata Ecclesiis, vel earum hominibus præjudicium nullum fiat, et quod a similibus cessabitur in futurum.Charta Radulphi de Balgentiaco ann. 1085. in Tabulario Vindocinensi fol. 193 :
Nullum faciet ire in bannum, vel corveam, sive equitatum,(præterquam in aliquot casibus ibi expressis,)et tunc quidem non per Præpositum suum aut vicarium suum submonebuntur homines monachorum ; sed monachis tantum dicetur, ut ipsi unum de servientibus suis homines faciant submonere.
Annuimus quod illi Submonitionem, vel falsum clamorem non emendent.Litteræ Caroli V. Reg. ann. 1367. tom. 5. Ordinat. pag. 73 :
Quodque dictus Major haberet omnes Submonitiones hominum bailliæ suæ ad rectum, etc.
In villa de Villari positionem majoris, gallinas, Submonitionem in armis, etc.
Et in Curia ipsius monasterii per ejus Summosam veniant ad justitiam faciendam.
Per ordinarium Submonitorem in curiam vocatus.Breve Judiciarium apud Littletonem sect. 234 :
Et quod summoneat eos per bonos Summonitores, quod sint coram justitiariis, etc.
Summonitores ordinarii, legales, boni : Summonitores scaccarii,apud Kennet. in Gloss. ad calcem Antiquit. Ambrosden. Li Sumenour, in Legibus Normann. Will. Nothi cap. 45. Assisiæ Hierosol. MSS. cap. 78 :
Les 3. Semonnoirs doivent querre celui de quoy l'on s'est clamé.Infra :
Si requiert et commande à sa Cour, que elle li connoisse, se il est attaint du murtre, et se les Semonnoirs ont recordé en la cour, que ils avoient fait la semonce.Adde cap. 215. et seqq. et 223. Apud Bellomanerium in Consuetudine Belvacensi caput 2. inscribitur,
des semonces et des Semonneurs et de ceus, qui n'obeïssent as semonces, et comme on doit semonre.De officio Summonitorum, agit præterea Radulfus de Hengham in Summa magna cap. 5.
Icellui Souchu, qui estoit Cemonceurs et porteurs de cemonces sur poures gens, etc.
Archiepiscopis, Episcopis, Abbatibus, de convocandis ad Concilium generale Submonitorias patentes ostendit.
Si homo de valle terram suam vendere voluerit, prius eam Submonebit priori : si prior emere voluerit, levius emet.