« Tartavella » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans , et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 8, col. 035b. http://ducange.enc.sorbonne.fr/TARTAVELLA
TARTAVELLA, vulgo Tartavelle, Instrumentum quoddam compluribus ligneis
frustis sese invicem collidentibus constans, cujus strepitu piscatores cogunt pisces ad
retia. Ita Mabillonius sæc. 6. Benedict. part. 2. pag. 209. Tartavele, in
Satyris Christianis apud Borellum :
Vide Taravella 2. HincQui sont ces asnes sans cervelesQui sonnent de leurs TartavelesA nos huis ?
les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736.
Tartavellare, Pulsare. Vita S. Roberti Abbat. ibidem : Videns se tanto articulo adstrictum, quod absque nota non posset declinare, ut parvum frusticulum in ore misit, leproso ad januam Tartavellanti totum frustum transmisit. Tartevelerin iisdem Satyris ibidem :
Cuisine ou rien n'est avaléQui n'ait été Tartevelé.
P. , 1766.
◊ Tartevelle
appellatus vir lepra infectus, quod ejusmodi instrumentum pulsare teneretur, ut sanos a se
removeret. Lit. remiss. ann. 1382. in Reg. 122. Chartoph. reg. ch. 29 : Comme n'agueres Jehan Mauclerc demourant à Senlis eust esté ordenné avec aucuns autres de ladite ville à faire le guet de nuit en icelle, et pour ce faire, il acompaingné de Raoulet Dupuis, dit Maynage, et d'autres de ladite ville, s'en alerent sur les murs d'icelle ville, et en montant sur la garde, après ce qu'il avoient beu, crierent par maniere d'esbatement et de moquerie, Tartevelle, par plusieurs fois, en disant à plusieurs personnes qu'ilz trouverent sur lesdiz murs, faites bon guet, veez çà Tartevelle qui vient.Vide Taratara.