«
2 turella » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans
du Cange,
et al.,
Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 8, col. 212c.
http://ducange.enc.sorbonne.fr/TURELLA2
2. TURELLA, Parvus agger inter agros ductus, per quem inceditur. Privilegium Henrici domini
de Soliaco ann. 1301. apud Thomasserium in Biturig. pag. 123 :
Si quis accusatus
fuerit de pasturalli, Turella, vel platea arata, etc.
Vide
Torallum.
P. Carpentier, 1766.
◊ Vulgo
Toral :
Turaut, eadem notione, in Lit. remiss. ann. 1373. ex Reg. 104. Chartoph.
reg. ch. 351 :
Laquelle fille dist que elle vouloit veoir traire lesdis
arbalestriers, et derriere lesdis murs se monta sur un Turaut et se leva sur ses piez
pour mieux veoir ledit trait, etc.
Idem quoque sonat vox
Turgeault, in
aliis Lit. ann. 1471. ex Reg. 194. ch. 344 :
Les beufz recullerent sur ung petit
Turgeault, et en recullant verserent et tumberent ladite charrette.
Unde
Turée, pro
Turcie, agger, in Lit. remiss. ann. 1478. ex Reg. 205. ch. 63 :
Ilz s'en alloient le long de la Turée de la riviere de Loire.
Hinc etiam
Turet Blesis nuncupatur, Scopus, quod terræ aggestæ infigi soleat. Lit. remiss.
ann. 1416. in Reg. 169. ch. 452 :
Lesquelz compaignons avoient emprins que la
partie, qui frapperoit premierement de sa bille contre une verge de bois fichée en
terre, que l'en appelle ou païs (Blésois)
le Turet, gaigneroit le
jeu.
Vide
Toro.