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[]« Herlinini milites » (par les Bénédictins de St. Maur, 1733–1736), dans du Cange, et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. augm., Niort : L. Favre, 1883‑1887, t. 4, col. 201c. http://ducange.enc.sorbonne.fr/HERLININI
HERLININI Milites, apud Petrum Blesensem Epistola 14. per contemptum vocantur Aulici, quod poculis potius, quam gladiis, dimicent. An ab Herlino Anglo, exercitus in Saracenos ductore, sed militiæ prorsus imperito ? Ita Hofmannus.
P. Carpentier, 1766.
Pavidi, qui facile exterrentur, ut opinor, a Gallico Herle, terror ; unde Sonner une cloche à Herle, pro Campanam ad terrorem pulsare, vulgo Sonner le tocsin. Lit. remiss. ann. 1382. in Reg. 121. Chartoph. reg. ch. 6 :
Ricouwart d'Auterive escuier... estoit par un jour en sa maison en la conté de Flandres, assez près de la ville d'Espiere, et oy sonner ledit jour bien matin les cloches à Herle de ladicte ville d'Espiere et d'autres villes voisines,... doubtant que ce ne feussent ses ennemis qui lui venissent courir sus, et qu'il est accoustumé au pais que au son des cloches les gens du pais s'assemblent, etc.
Aliæ ann. 1454. in Reg. 189. ch. 3 :
On sonna les cloches du lieu à Herle et effroy pour assembler le peuple.
Vide infra Hida.